Jeudi soir, Maja Hoffmann recevait à la Kunsthalle de Bâle et ce en présence d’une centaine de personnes, le 24e Prix Montblanc de la Culture Arts Patronage pour sa première édition suisse. «J’aime l’art qui est engagé. L’art qui commente, discute, critique, observe et prend position dans notre monde», explique la collectionneuse mécène.
L’héritière des laboratoires pharmaceutiques suisses Roche, fondés à Bâle en 1896 par son arrière-grand-père, Fritz Hoffmann-La Roche, soutient avec énergie des artistes grâce à sa Fondation LUMA. Philippe Parreno, Julian Schnabel, Ugo Rondinone font partis des heureux à avoir bénéficié de sa générosité.
Le Tamiflu se vendant plutôt bien dans les quatre coins du monde, l’entreprise réalise des milliards de francs et offre à Maja une liberté d’action non négligeable. Ainsi, la philanthrope helvète siège au conseil de nombreuses institutions culturelles. Parmi ses projets futurs, elle rêve de transformer la cité provençale d’Arles en une capitale mondiale de l’art contemporain avec d’ici à 2018, la construction controversée d’un bâtiment dessiné par Frank Gehry qui abritera sa fondation.
Aujourd’hui, c’est à Bâle que se dessine, dans l’horizon de la ville, la nouvelle tour Roche signée par le duo helvète Herzog & de Meuron et c’est dans le cadre de la foire internationale d’Art Basel que la bienfaitrice a reçu un des onze instruments d’écriture Patrons of Arts, créés en édition limitée pour l’occasion dans les Ateliers de l’Artisan Montblanc – et dédié cette année à Luciano Pavarotti – ainsi que la somme de 15’000 euros en vue de financer une organisation de son choix : Human Watch Rights Switzerland.
je possede un autoportrait d’un certain F.HOFFMANN et je voudrai connaitre s’il fait partie de votre famille.
cordialement.
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Bonjour, je ne fais pas partie de la famille Hoffmann 😉 Meilleures salutations.
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